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Tandis que l’adoption des services cloud par les entreprises s’accélère, certains DAF s’interrogent encore quant à cette transition (Source : Deloitte).

Si la transformation des modèles classiques vers des modèles basés sur le cloud représente un changement majeur dans la manière de gérer les budgets IT, l’augmentation de la flexibilité financière offrira de sérieux avantages aux DAF.

Les investissements IT coûtent cher aux entreprises

Pour une entreprise, les investissements “traditionnels” initiaux en matériel informatique et en logiciels sont lourds ; à ceux-ci viennent s’ajouter des abonnements coûteux pour la maintenance et les mises à jour.

En 2021, on estime que les investissements à l’échelle mondiale en matériel et logiciels IT atteindront 277 milliards d’euros (Source : Capital). Sachant que les entreprises consacrent entre 2 et 4 % de leur chiffre d’affaires au budget IT, en atteignant un record de 9 % pour les entreprises des secteurs bancaire et financier, ces budgets sont susceptibles de comprimer la trésorerie d’une entreprise, laissant peu de marge pour changer de cap ultérieurement selon l’évolution des marchés ou de la conjoncture.

De plus, à mesure qu’une entreprise se développe ou que les technologies IT évoluent, l’imprévisibilité en matière de budgétisation et de dépenses va croissante. On note qu’en moyenne, 34 % des budgets IT sont consacrés à la maintenance des infrastructures (Source : Manaps).

On estime également que la transition vers des services IT localisés dans le cloud pourrait aider les entreprises à économiser jusqu’à 15 % de leurs investissements IT (selon Computer Economics).

Le Cloud permet de réduire la facture et d’assouplir la gestion des investissements IT

En supprimant la nécessité de prendre des engagements à long terme envers un fournisseur ou envers une version d’une certaine technologie, le passage aux services cloud réduit l’incertitude liée aux coûts très variables découlant d’une grande partie de l’infrastructure IT.

Le stockage, les serveurs et les logiciels relèvent majoritairement de la responsabilité du prestataire de services cloud, qui peut dès lors fournir les dernières technologies en date au moyen de mises à jour centralisées. Ceci permet de réduire les coûts d’assistance sur site tout en garantissant que l’entreprise utilise la dernière version des services et des logiciels.

Cloud/SaaS : D’un modèle Capex vers un modèle Opex

Du point de vue du DAF, cette transition signifie également que la comptabilisation des coûts IT est transférée du budget Capex au budget Opex.

En résulte une meilleure visibilité des coûts, permettant aux entreprises d’agir plus rapidement lors de l’introduction de nouveaux services. Le DAF sera en mesure de quantifier et d’ajuster les dépenses en fonction des besoins de l’entreprise, sans avoir à engager des paris risqués sur de grands projets IT.

D’autre part, la tarification personnalisée pratiquée par un fournisseur de services cloud sera plus transparente et permettra de prendre rapidement des décisions sur le rapport coûts/ avantages.

Lorsqu’un imprévu se présente, comme une augmentation soudaine du nombre de clients, un système basé sur le cloud pourra alors déployer une plus grande capacité pour répondre à la demande.

SaaS/cloud : vers une meilleure maîtrise des usages

A mesure que l’entreprise se digitalise via le cloud, les DAF auront également accès à davantage de données et à la possibilité de les analyser. Cela permettra d’obtenir des insights plus riches à un rythme plus soutenu, tout en autorisant le DAF à suivre de près les finances de l’entreprise.

En effet, la visibilité sur les données relatives aux dépenses constitue un facteur crucial de succès, puisque tout flou dans ce domaine entraîne un risque majeur lors de la gestion des contrats (Source : Decision-achats).

La possibilité d’obtenir davantage de données en temps réel sur l’ensemble des segments de son activité signifie que le DAF peut détecter rapidement tout problème potentiel, et déterminer facilement ce qui fonctionne et ne fonctionne pas afin de procéder à des ajustements.

SaaS/cloud : pour une plus grande souplesse opérationnelle et budgétaire

L’utilisation de services basés dans le cloud créé également une plus grande souplesse dans les décisions budgétaires liées aux effectifs, un autre aspect crucial en termes de contrôle financier.

L’augmentation des effectifs peut entraîner l’augmentation des investissements en équipements de réseau et en logiciels, notamment pour les collaborateurs à distance. Grâce au cloud, cela peut être fourni rapidement et pour un coût restant marginal.

En outre, le cloud permet aux collaborateurs d’accéder aux systèmes de l’entreprise à partir d’un plus grand nombre de sites et d’appareils. Une plus grande collaboration et une productivité accrue deviennent dès lors aussi possibles.

Cette flexibilité peut se révéler libératrice pour les DAF. Les services cloud rendant la planification financière et la budgétisation plus précises, les DAF disposeront par ailleurs d’une plus grande liberté pour conduire la transformation digitale d’une entreprise en toute confiance.

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